
La réception du Nouvel An de Rheinberg réunit de nombreuses personnes qui déterminent la vie dans la ville : Des gens de la politique, des clubs, de la culture et du sport, de l’église et du monde des affaires ainsi que de la police, des pompiers, de la Croix-Rouge ou d’autres organisations et institutions. La réception du Nouvel An – demain dans la Stadthalle – offre au chef de la ville l’occasion de regarder en arrière et en avant dans un discours. Le RP s’est entretenu avec le maire Frank Tatzel au sujet de la constitution de la ville.
Tatzel, que diriez-vous d’aller à la réception du Nouvel An ?
Frank Tatzel Avec un très bon. Ce sentiment s’est manifesté lorsque j’ai écrit mon discours. J’attends avec impatience la réception et mon discours et j’ai décidé d’aborder des sujets plus difficiles cette fois-ci.
Quel est votre thème général pour 2018 ?
Tatzel Je veux améliorer la politique d’information. Nous devons faire plus que cela en tant que ville. Nous commencerons le 31 janvier par un événement d’information pour les élèves européens qui veulent simplement savoir comment l’extension du centre scolaire va fonctionner. Je pense qu’il est très important d’améliorer le réseautage des travailleurs culturels. Nous planifions d’abord un entretien préliminaire, puis après le carnaval une « rencontre culturelle », qui peut aussi être une date fixe. Il existe déjà des séances d’information sur le réaménagement urbain. Et puis il y a Annaberg.
Bonne queue. A Annaberg, il y a beaucoup de désagréments : la rénovation des égouts, le partage des coûts, le bruit et le fait que la ville n’entend rien sur elle-même.
Tatzel C’est exactement ce que je veux changer. Avant le carnaval, il y aura une soirée d’information pour faire le point sur les progrès de la réhabilitation des égouts. A la fin du mois d’avril, une « administration sur place » est prévue. En tant que chef de l’administration, nous nous rendrons disponibles sur le sujet d’Annaberg en général.
Avez-vous hésité trop longtemps avant de prendre la décision d’agir ?
Je ne veux pas le dire comme ça. J’ai peut-être sous-estimé le sujet. Ce n’est que lorsque j’ai lu dans votre journal le rapport sur Hans-Jürgen Dion, qui a décrit ses pensées sur la vie changée à l’Annaberg, qu’il m’est apparu clairement que nous devions faire quelque chose. J’y suis moi-même allé à la maternelle et à l’école primaire.
Il faut aussi faire quelque chose pour le centre-ville. Au tournant de l’année, les magasins ont de nouveau fermé, et d’autres viendront s’y ajouter. Les gens ont peur que le centre-ville s’éteigne. Et encore et encore on entend : regardez Kamp-Lintfort ! Pourquoi ça se passe bien là-bas et pas ici ?
Tatzel Un problème sont les locaux commerciaux de petite taille pour la plupart. Et le comportement d’achat a changé en faveur des commerçants en ligne. Seuls les magasins spécialisés ont encore une chance. La ville peut créer les conditions cadres, et nous le faisons en réaménageant le centre-ville. Une fois le processus terminé, les conditions sont un peu meilleures.
Tatzel Et nous ne devrions pas abandonner et nous enfouir la tête dans le sable ! Par exemple, la ville peut offrir la gestion de chantier de construction, ce qui a déjà été fait.
En parlant de réaménagement urbain, aimez-vous le nouveau marché ?
Tatzel, oui. Je suis ravi que nous ayons trouvé un sponsor pour la Fontänenfeld sous la forme de la Sparkasse. La caisse d’épargne participe d’ailleurs aux frais d’une voile solaire à la pataugeoire de la piscine extérieure d’Underberg.
Vous parlez d’argent : Qu’en est-il des finances ? L’administration a été accusée d’avoir des estimations budgétaires et des déficits réels très divergents.
Tatzel Lors de l’introduction du budget 2018, un déficit de 7,5 millions d’euros était prévu. Nous pourrions arriver à un moins de 5,3 millions d’euros au pire. Nous sommes actuellement à 4,5 millions d’euros. Les chiffres varient, oui. Il ne faut pas oublier que la taxe de district est inférieure d’environ un million d’euros et que nous avons reçu un remboursement de la taxe professionnelle. Et vous devez garder à l’esprit que le budget de Rheinberg sera introduit très tôt, ce qui, je pense, est absolument juste. Mais alors les valeurs changent et vous prenez le risque. Il est bon que notre contrôleur Anne Igelbrink accompagne le processus de manière intensive.
Qu’en est-il du concept du bain ?
Tatzel Ça se passe bien. La mission du conférencier expert Rainer Kusch est la suivante : Dans le prochain comité sportif, différentes variantes doivent être présentées, comment elles peuvent continuer avec les bains. Je pense que le processus se déroule bien.
Le lycée Amplonius a annoncé peu avant Noël que l’école revenait du G8 au G9
Tatzel, je pense que c’est bon. Je peux parler en tant que père. Ma fille a obtenu son diplôme d’études secondaires après huit ans et n’a eu aucun problème, mon fils fait maintenant G9 au lycée professionnel à Wesel. Dans les deux cas, j’ai vu que la onzième année se justifie. Pour Rheinberg, cette décision signifie naturellement que le lycée aura bientôt plus d’élèves et donc un problème d’espace. Ma suggestion : Nous vérifierons sans engagement si la VHS et la bibliothèque peuvent emménager dans l’ancienne école Montessori de la Kurfürstensstraße et si le lycée peut utiliser le Konvikt.
Comment évaluez-vous le climat entre l’administration et la politique ?
Tatzel C’est définitivement tendu. Nous devons changer quelque chose à ce sujet, il faut que ça s’améliore à nouveau. En ce qui concerne le climat au sommet de l’administration, je peux dire qu’il est vraiment bon ! Mes relations personnelles avec les groupes politiques se sont également considérablement améliorées. Je suis content, parce que c’est important de rester en contact.
Pendant longtemps, vous avez été très hésitant dans vos décisions en tant que maire, laissant souvent les deux députés passer en premier et se retenir. Cette image était irritante pour le public. Dernièrement, vous avez fait une impression plus confiante, vous avez parlé plus souvent, vous êtes plus déterminé. Qu’est-ce qui a changé ?
Tatzel Entre-temps, j’ai gagné beaucoup plus de confiance en moi, je suis bien meilleur sur le sujet à bien des égards, je connais mieux les relations et les collègues. Il faut du temps pour s’y habituer.