Ici, je vais vous parler de l’entreprise d’assurance-vie et du fonctionnement de l’assurance-vie temporaire en cas de décès.Je sais ce que tu penses. Ce n’est pas un bon point. En fait, avouons-le, il est vraiment ennuyeux.Devoir discuter du cas d’une disparition prématurée ne me met jamais de bonne humeur.Néanmoins, c’est un sujet très important à aborder, surtout quand on a une famille à soutenir et à protéger.Donc il pense qu’il doit regarder ça pour ta famille, pas pour toi. Je dirais que cette raison est suffisante et avance pour définir son importance.

 

PAR OÙ COMMENCER ?

Pour savoir si vous avez besoin de cette assurance, vous devez poser les questions suivantes :

 

Ma famille aurait-elle les moyens de payer mon décès prématuré ?

Y a-t-il d’autres revenus qui peuvent soutenir le niveau de vie actuel et des engagements de débit ?
Si la réponse est non, continuez à lire.Pour surmonter ce problème, vous pouvez souscrire une assurance vie temporaire en cas de décès (MTC), ce qui signifie simplement utiliser un instrument financier pour réduire ou annuler ce risque du radar de votre famille.Voyons comment fonctionne une MCT, quels sont les aspects à évaluer pour choisir le meilleur et surtout quand il est pratique d’en stipuler un.

 

CONTRACTANT ? ASSURÉ ? BENFICIAIRE ? QUELLES SONT LES DIFFÉRENCES ?

Commençons par définir les sujets concernés. La souscription d’une police d’assurance vie MTC comporte 4 sujets :

  • Entrepreneur : C’est la personne qui décide de souscrire la police d’assurance. Ce sera le même qui paiera les primes et qui sera légalement lié à la compagnie d’assurance ;
  • Assuré : C’est la personne qui est couverte par la police. Elle peut être différente de celle de l’entrepreneur et du bénéficiaire (voir p. ex. ci-dessous) ;
  • Bénéficiaire : C’est la personne qui bénéficie du paiement de l’assurance, en cas de survenance du sinistre. Il peut être distingué entre l’Assuré et le Titulaire de la Police (voir par exemple ci-dessous) ;
  • Compagnie d’assurance : La personne qui assume le risque d’un événement indésirable.
    Exemples :
  • Un père (le preneur d’assurance) souscrit une police MCT auprès d’Allianz (la Compagnie) pour assurer son épouse (l’Assuré) au profit de son enfant (le Bénéficiaire). Dans cet exemple, les 4 sujets impliqués sont 4 personnes différentes.
  • Un père (le preneur d’assurance) souscrit une police MCT auprès d’Allianz (la compagnie) pour s’assurer (l’assuré) au profit de son épouse (le bénéficiaire). Dans cet exemple, les 4 sujets impliqués ne sont que 3 personnes.Lorsque le titulaire de la police et l’assuré sont la même personne, on parle d’assurance-vie personnelle.Lorsque les deux sujets sont des personnes différentes, on parle d’assurance vie responsabilité civile. Attention : dans ce cas, comme le dit le code civil, le contrat n’est pas valable si l’Assuré ou son représentant légal ne donne pas son consentement (art. 1919).

 

COMMENT ÇA MARCHE ?

L’objectif de cette police est très simple : protéger le bénéficiaire en cas de décès prématuré de l’assuré. Pour ce faire, la personne qui souscrit le contrat d’assurance (le preneur d’assurance), après avoir établi les termes et conditions avec la compagnie d’assurance, paie une prime pour toute la durée du contrat et transfère le risque du bénéficiaire à la Compagnie.